Basé sur le critère d’hyper croissance, ce label récompense la croissance organique de DIGITEMIS qui double son chiffre d’affaires chaque année depuis sa création.
Accompagnée par Atlanpole depuis 5 ans, l’entreprise a deux activités dans le domaine de la cybersécurité : l’audit et le conseil, puis l’édition logicielle.
Sur l’édition logicielle, Digitemis a conçu un outil d’évaluation et de pilotage de la cybersécurité des tiers (Peridiag), et une autre solution pour le pilotage de la RGPD (BookMyData).
DIGITEMIS renouvelle son Pass French Tech pour la 3ème année consécutive et dévoile un chiffre d’affaires de 1,5 million € en 2018
>> Grâce à ses innovations uniques en Cybersécurité et en Protection des données personnelles, la PME double son CA chaque année et croit de 150% en 2018.
>> 90% des cyberattaques visant les grands groupes proviennent de leurs filiales ou fournisseurs : DIGITEMIS garantit la protection et la conformité des écosystèmes d’entreprises.
Comptant parmi ses nombreux clients des grands comptes comme Dassault Aviation, Total, EDF, Bouygues Construction, Suez… Digitemis continue de recruter pour accompagner sa croissance. Son dirigeant, Ludovic de Carcouët, fait par ailleurs partie du conseil d’administration d’Atlanpole Entreprises.
En 2018, DIGITEMIS a réalisé 150% de croissance, ce qui lui permet de faire partie des 31 entreprises en France à renouveler leur Pass French Tech en 2019 (récompensant leur hyper-croissance) et d’être la seule dans la région des Pays de la Loire à le renouveler grâce à sa croissance organique. En effet, DIGITEMIS, qui a atteint un chiffre d’affaires de 1,5 million € en 2018, est toujours restée indépendante.
En 2019, DIGITEMIS fait partie des 5 startups (soit 3%) de la cybersécurité à émerger « par le haut » du Radar des startups de la cybersécurité française à suivre grâce à leur forte croissance en termes de positionnement, d’emplois et de technologies exploitées.
Ludovic de Carcouët
« Nous sommes convaincus que la clé d’une bonne protection réside dans le rapprochement de la technologie et du juridique : on ne peut plus raisonner par silo tant les risques sont élevés » déclare Ludovic de Carcouët. « C’est un challenge passionnant de faire collaborer des experts aux parcours si éloignés. Au cours des mois qui viennent, nous allons poursuivre et même renforcer nos investissements R&D dans ce sens ».